En tombant sur l’article « Les métiers que j’aurais pu faire dans une autre vie »
de l’excellente Maman Lempicka, je me suis tout de suite dit : « Mordel de Berde, j’aurai dû y penser avant elle ». Quel sujet prometteur ! Quel sujet propice aux échanges, aux réactions, au partage ! Il n’y a qu’à voir le nombre de commentaires sous son article : il y en a, des choses à dire, sur nos carrières fantasmées. J’étais déjà en train de réfléchir à la meilleure façon de lui piquer son idée, quand j’aperçus le mot « tag » à la fin de son billet. Une rapide consultation du Petit Dico de la blogueuse avisée me confirma que c’était bien le code utilisé pour dire « Hey meuf, tu peux reprendre le sujet c’est fait pour ». Youpi !! Alors, c’est parti !
Pharmacien-garagiste
Mon premier choix de carrière, certes relativement original, ne fût pourtant pas le fruit d’une lubie passagère. Point du tout.
A l’époque où je commençais à m’intéresser sérieusement à mon avenir professionnel (5 ou 6 ans donc), je décidais de n’ignorer aucune option et de me renseigner du mieux possible, notamment sur le potentiel de chaque métier envisagé. J’étais certes vierge de toute stratégie commerciale, pourtant, je pressentais déjà la nécessité de répondre par mon travail à un besoin avéré (#clientspotentiels), tout en me garantissant un certain épanouissement professionnel (#biendansmonjob).
Mon enquête me mena ainsi dans l’antre de deux grands ados boutonneux : la chambre de mes frangins. Je découvrais alors avec émerveillement des centaines – que dis-je, des milliers – de pots Bolino remplis de vis, écrous et autres petites bidouilles pleines de gras, au beau milieu des carcasses et pneus qui jonchaient le sol. Ils avaient l’air passionnés, mais aussi l’air de n’en avoir jamais assez.
Il y a un marché ! m’écriai-je aussitôt, avant de déclarer fièrement : Je serai donc garagiste ! Ni une, ni deux ni trois ; je couru faire part de ma décision à ma conseillère d’orientation attitrée (maman) afin de recueillir ses impressions. Je lui demandai tout de même : « C’est une bonne situation ça, Garagiste ? » Ce à quoi elle me répondit qu’elle ne croyait pas qu’il y ait de bonnes ou de mauvaises situations, mais que ce n’était peut-être pas l’emploi le plus rémunérateur qui soit. Argh.
Bien consciente de la nécessité d’un salaire à la hauteur de mon train de vie, c’est la mort dans l’âme que je dû me résoudre à trouver un emploi de complément, m’assurant de pouvoir continuer à payer mon loyer et mes pochettes de Crados. C’est ainsi qu’au détour d’une conversation surprise entre ma conseillère et l’une de ses collègues, j’appris que « M. Maurice, venait d’ouvrir sa 3ème pharmacie, ah-ça-ça-rapporte-la-pharmacie ». Tiens tiens, pensais-je… Garagiste le jour, pour répondre à la demande de mes deux clients préférés ; pharmacien la nuit, pour régler les fournisseurs de Popolls et de Petits Poneys, pile poil ce qu’il me fallait !
Poète écrivain
Pourtant, malgré l’aplomb avec lequel je défendais mon projet devant la commission de validation familiale, celui-ci s’est vu rejeté en bloc. J’étais de toute évidence bien trop en avance sur mon temps, et n’avais pas su valoriser l’aspect visionnaire de ce que l’on appelle désormais le slashing. J’abandonnais donc cette idée pour explorer une nouvelle piste, qui me semblait tout aussi prometteuse : devenir poète-écrivain.
C’est à cette époque que je commençais à écrire des rimes, récits et autres nouvelles sur des petits feuillets, que je glissais discrètement dans le premier livre venu afin de les lire l’air de rien à ma conseillère – dans le secret espoir d’avoir son aval immédiat. Bien que particulièrement clémente et encourageante, je compris un jour, à son regard amusé, que mon poème « Barbie rose est bien morose », finement caché dans le recueil d’un certain Baudelaire, ne faisait pas illusion. Mon œuvre n’avait pas rencontré son public, je décidais alors de reporter ce projet à (beaucoup) plus tard, et de me concentrer sur une piste plus ancrée dans la réalité.
Danseuse étoile
A l’âge de la (presque) maturité professionnelle – 14 ans -, j’optai donc pour un choix de raison : faire carrière à l’Opéra. Après étude exhaustive de la faisabilité (finger in the nose), de la concurrence (quasi inexistante) et des débouchés (nombreux, au moins 4 ou 5) ; je sollicitais un financement de formation auprès du BPM (Bureau de Papa-Maman), et obtins non sans mal l’agrément pour la formation professionnelle de mon école de danse. 20 heures par semaine, de tortures plantaires et d’entrechats. Mais qu’est ce que j’aimais ça.
Il y a encore quelques années, je me demandais comment je faisais pour assurer ce marathon quotidien : lycée – cours de danse – coups de fils aux copines devoirs ; et puis je me suis rappelé que j’avais à ma disposition une cuisinière, femme de ménage, taxi, comptable, infirmière, psychologue, supporter de compét’ (ma mère). Bref, la vie était facile, je n’avais qu’à monter sur mes pointes et venir à bout de l’exercice de proba pour avoir le droit de continuer dans cette voix.
Malheureusement, à l’approche du bac, le verdict du BPM fut sans appel : tu seras danseuse plus tard ma chérie, les études, c’est ça la vraie vie ! Aucun rapport avec ton talent, hein, c’est évident. Aehem.
Joueuse de Poker
Puisque toute carrière artistique semblait vouée à l’échec, et que je me retrouvais bien malgré moi à déchiffrer un plan comptable entre deux tomes du Kotler (#LittératureDeLetudiant), j’eus l’idée lumineuse, au détour d’une soirée placée sous le signe de la sobriété, de devenir joueuse de poker professionnelle.
Mon entourage (de la soirée) a tout de suite adhéré à mon projet en me proposant de démarrer illico. Et quel démarrage ! Premier tour, je rafle la mise (10 francs) (Oui, francs) avec une paire de Dames. Deuxième tour, brelan d’as, je gagne à nouveau. 3ème, 4ème, 5ème tours, j’alterne les coups de bluff et les coups de bol, la chance est avec moi ! C’est ainsi que, pleine de confiance, je finis par faire un all-in avec une paire de 4, qui signera malheureusement la fin de ma (courte) carrière dans le domaine, et le début du remboursement des copains compatissants (mais radins).
Au fil des années, je finis donc par me résoudre – sans grande conviction – à emprunter la voie que l’on avait tracée pour moi : le commerce. Sur Internet, pour un peu plus de fun. Et même si j’y ai en quelques rares occasions pris du plaisir, l’arrivée de la 8ème merveille du monde à la maison signa le début des questionnements. Petit être fragile et sans défense que j’étais donc censée laisser à une nounou avant l’âge canonique de ses 3 mois – MANDIEU – tout ça pour aller croiser de la data et vendre des pop-up ?! Je m’interrogeais. Mon patron avait-il réellement besoin de moi 10 heures par jour quand mon enfant se contentait d’une seule petite heure ?! N’y avait-il pas une solution pour équilibrer un peu tout ça ??
Le temps de la reconversion était arrivé.
Et n’est pas révolu, d’ailleurs. Car avant de se reconvertir, il faut trouver dans quoi (ça peut aider). Si je suis plus ou moins fixée aujourd’hui, sachez que plusieurs brillantes idées m’ont traversé l’esprit avant de faire mon choix. Petit tour d’horizon.
Mère au foyer
Mère… au foyer ?! Passer son temps les mains dans le caca et la tête dans les listes de courses ? Tu vas t’ennuyer ! Tu vas devenir bête ! Tu vas le regretter ! Quelle horreur !!
Hum. Alors, pour l’ennui, je réserve ça à ceux qui manquent d’imagination ^^. Du temps pour lire, écrire, créer, me remettre au piano, faire enfin un peu de déco, compléter les albums photos, visiter les musées et les expos, m’investir dans les assos… bref, faire plein de trucs qui finissent en « o ». Je crois que même en étant au foyer, je n’aurais pas le temps de tout faire. (Vivement la retraite).
Et puis, après tout, s’occuper de sa maison, de ses habitants, faire de l’élevage d’être humain, toussa toussa, ce n’est quand même pas rien ? Bon, apparemment, si, au vu de la considération des femmes ayant emprunté cette voix là. Et si je suis certaine que beaucoup s’épanouissent parfaitement dans leur travail, je suis aussi persuadée que l’épanouissement ne passe pas nécessairement par là. Par contre, les thunes, oui. C’est d’ailleurs ce que m’a subtilement rappelé Biquet quand je lui ai présenté cette option, en me suggérant de voir si je ne pouvais pas essayer de générer un revenu avec mes hobbies par exemple. Ou de générer un revenu tout court. Pffff, quel rabat-joie celui-là.
Maitresse d’école
Puisque éduquer mes enfants ne méritait aucun salaire, pourquoi ne pas éduquer ceux des autres ? Hein ? En voilà une idée quelle était bonne ! Et puis, au moins 16 semaines de congé par an, des journées qui finissent à 16h30, un vrai boulot de glandu, ça non ?! OH QUE NON. Je fais au contraire partie de ceux qui pensent que ce métier est probablement l’un des plus difficile qui soit. Et mal aimé. Et mal payé.
Pourtant, j’ai sincèrement et sérieusement envisagé de passer le CRPE. Parce que j’y trouvais un sens véritable, et que finalement, dans mon échelle de valeurs personnelles, « éduquer des enfants » planait à 15000 au-dessus de « Vendre du rêve à Madame Michu pour qu’elle vide son PEL chez nous ». Mais tout cela ne restera qu’un doux rêve, la réalité et les méandres de l’éducation nationale qu’une personne bien avisée m’a exposé m’ont directement fait redescendre de mon nuage. Batailler 2 ans pour avoir une agrafeuse, être trimbalée de poste en poste… je n’étais pas prête à ça.
Dictateur
Je crois qu’on peut dire dictatrice, j’en suis même sûre, d’ailleurs. Comme autrice, sans doute. Quelque chose me dit pourtant que pour celui-ci, on ne me reprendra pas, ou moins, que si j’écrivais Auteure, hein. Mais bon, je sais je sais : Richelieu, l’académie française & co ; actrice, créatrice, roues motrices cicatrices et tout le tralala ; il n’empêche que je trouve ça moche, ça me fait mal aux oreilles, j’aime pas ça, c’est comme ça. Surtout, je ne suis pas sûre que le fait de dire Autrice au lieu d’Auteure me garantira de me balader en sécurité à 4h du mat’, de gagner autant que mon homologue masculin ou fera taire les abrutis anti-IVG ; mais peut-être qu’en fait si, sûrement que je me trompe, que je n’ai rien compris, que j’oublie un peu vite le très convaincant « ça n’a rien à voir ». Sauf qu’avec ce nouveau boulot, c’est moi qui déciderais de tout, et je déciderais qu’on s’en fout, un point c’est tout.
Je déciderais aussi de bannir tous les autres mots moches, comme lochies et tranchées ; j’interdirais l’emploi de la locution « Au jour d’aujourd’hui », je supprimerai le droit de porter des Crocs, je punirai tout ceux qui nous font partager leur conversation téléphonique dans les transports en commun, je lancerai le jour de repos obligatoire le premier jour des règles (ne riez pas, ça se fait en Norvège), et je lancerai encore plein d’autres réformes indispensables, franchement vous auriez vraiment tort de ne pas voter pour moi aux prochaines élections.
Mais tout ça, c’est dans 3 ans, alors en attendant, je continue de bosser sur ma reconversion qui – ne le dites à personne – n’est finalement pas très éloignée de mon ancien métier… Et vous, vous nous racontez quels métiers vous auriez pu faire ? PRGR m’a déjà devancé (la vilaine) (mais elle me référencera dans sa librairie alors je dis rien), n’hésitez pas à nous emboiter le pas !
32 comments
tu m’as trop fait rire, dictateur ça c’est une bonne situation (enfin après ça dépend comment ça termine).
Ahah oui Dictateur je trouvais ça vraiment pas mal comme choix. Mais j’ai toujours pas trouvé le diplôme 😉
On est d’accord que si tu deviens dictatrice, tu supprimeras les pains au chocolat pour imposer la chocolatine qui va bien hein ?
Si c’est le cas, je vote pour toi. Oui on peut élire son dictateur c’est bien connu 😁
Hahah ! J’ai bien rigolé !
Que de réflexions pour l’enfant que tu étais ! Alors qu’on rêvait toutes de faire coiffeuse, médecin ou maitresse (clichés bonjour), tu rêvais de faire garagiste-pharmacienne ! Non mais garagiste-pharmacienne ! Tu m’as fait mourir de rire :p
Oh quand on y réfléchit bien beaucoup ont eu des rêves un peu étrange non ? Je connais quelqu’un qui aurait voulu être danseuse-femme de ménage (une histoire de balais probablement :-p) Merci en tout cas 🙂
Non mais quel talent a cette fille ! Heureusement que j’ai sorti le mien avant toi, sinon je serais passée à la trappe des oubliettes ! Je l’ai échappé belle.
J’avais également pensé à prof des écoles comme toi à un moment, et j’y ai renoncé pour les mêmes raison que toi, et que celles qui m’ont fait renoncé à être psy : la patience (ou le manque de, plutôt). Répéter les mêmes cours, à longueur de temps, je deviendrais folle et j’emplafonnerais un gamin, c’est sûr. Je finirais en tôle. Donc non.
En dehors de cela – et de dictatrice aussi -, je n’ai jamais ressenti d’attrait particulier pour le garagisme, la pharmacie ou le poker. Baudelaire, en revanche…
Figure toi que j’ai bien vu ton article hier, je me suis dis que j’allais le lire plus tard, j’ai pas résisté, j’ai vu qu’on avait quelques points communs tels que notre aversion pour le trice, moins dans les métiers finalement. Même si j’avoue avoir lorgné sur la formation de Gesthalt mais en voyant la durée (et le prix ^^) ça m’a un peu refroidi… Sinon je compte venir squatter ton article ajd même !
[…] (ouf ! ) Virginie Ne le dites à Personne a publié , elle aussi, son article sur ses métiers de rêve. Heureusement que je l’ai grillée sur ce coup. Mais je vous mets quand même le lien de son […]
Comme me l’avait dit un ado nonchalant (pléonasme bonjour) à qui je parlais orientation et futur, « moi, je m’en fous, je veux faire un métier qui gagne bien et qui fatigue pas ! « . Je cherche encore mais je pense que dictatrice s’en rapproche… mais il va falloir bien museler l’opposition.
Pharmacienne-garagiste, je trouve ça pratique. Tu peux proposer des trousses de premiers secours plus que complètes à tous tes clients au garage et un check up complet de leur voiture à tous tes clients de la pharmacie…
Maîtresse d’école, par contre dans la catégorie paye bien et pas fatigant, c’est éliminé d’office.
Bon, je suis en pleine réflexion de reconversion et pour l’instant, je n’ai pas eu d’illumination.
Il faut prendre le temps, certains font des bilans de compétences, ça aide au moins à identifier les points forts et les centres d’intérêts. Le tout étant de faire matcher les deux et que cette addition produise un revenu. C’est une autre histoire, je ne sais pas moi même si je parviendrai à un résultat 😉
En tout cas j’aime beaucoup la vision de ton ado, suggère lui peut-être de voir du coté des gagnants du loto ? beaucoup appelés et peu d’élus malheureusement 😉
Pharmacien-garagiste, Dictateur, … quelle classe !
Quels métiers j’aurais voulu faire ? Vaste question ! Je suis en pleine réflexion, en tout cas la réponse est : pas celui pour lequel j’ai été formée durant 5 ans et que j’ai exercé sans broncher !
Depuis un an, j’ai fait le choix d’être éleveuse de sourires, dompteuse de colères (et essuyeuse de caca aussi, mais c’est moins classe)…
Et « au jour d’aujourd’hui » (oups c’était trop tentant) ça me va !
Et bien moi je trouve que c’est un très beau métier, le plus beau ! Je l’ai pratiqué quelque temps mais à la veille de demain je dois bien reconnaitre que la rémunération n’était pas suffisante (malheureusement). Profites bien !!
La dictature, c’est le futur !
En te lisant je me dis que finalement mon rêve est peut être aussi dans ce chemin là même si pour l’instant je suis dictatrice amatrice (où dictateure amateure) à la maison je fais la loi… Nan je déconne, c’est le deux ans qui joue ce rôle. Où peut être le chat,il a tout compris le chat. Plus tard je voudrais être chat.
Aaaah mais oui, ici aussi c’est le chat qui commande. Tu as raison, la vie de chat, c’est ça la vraie vie 😉
Dans tous ceux que tu as décrits, c’est celui de mère au foyer avec tous les trucs en -o qui vont avec qui me ressemble le plus. Enfin, qui s’approche le plus de mes aspirations. Maîtresse, j’aurais bien aimé qu’on me prévienne, moi aussi. Pharmacien garagiste, j’ai trouvé ça hyper terre-à-terre pour l’âge que tu avais à l’époque: quel sens des contraintes! Sinon je suis d’accord avec maman nouille: les chats ont une putain de sacrée bonne vie. Et en plus ils en ont 9.
Non mais clairement, mère au foyer je trouve ça parfaitement honorable, surtout avec toutes les possibilités que les « nouvelles technos » offrent maintenant (comme celle de tenir un blog, par exemple). J’ai cru comprendre que on expérience de l’éducation nationale n’a pas été à la hauteur de tes attentes, c’est bien dommage, je suis certaine que l’EN perd beaucoup en décourageant des gens comme toi (et les enfants aussi, c’est bien ça le plus triste). J’ai l’impression en tout cas que ta reconversion est bien avancée, en grande curieuse que je suis, j’espère bien en savoir plus prochainement 😉 Merci en tout cas pour l’idée du tag, je disais que c’était unn bon moyen de faire plus ample connaissance (Fais gaffe Meetic and Co risque de faire breveter ton idée !)
Et merci PRGR grâce à qui je suis tombée sur ton blog ! Je ne suis pas une grande blogueuse mais je pourrais également en faire un article tellement j’ai eu d’envies différentes… et je suis encore là, à me chercher ! Mais je crois que mon fils m’aide petit à petit (quand il me laisse trois secondes dans la journée pour me poser hahaha) à y voir plus clair, alors j’espère qu’un jour j’aurais l’occasion d’écrire sur ma vocation professionnelle !!
Bises
Jessica 🙂
Et je vois que tu en as fait un, très sympa d’ailleurs 🙂 Je trouve que c’est une super façon de se présenter sans en avoir l’air (et ne t’inquiète pas j’ai déja tout oublié, merci les MIB :-P).
J’ai hâte que tu écrives sur les RH du coup 🙂
sinon un bon vieux coaching pour trouver sa voie ça peut aider aussi ! ( #placementproduit) lol
et bah dis moi quelle imagination déjà tu avais !!! finalement tu vas peut être bien finir poète ecrivain… coquine va !
Aaaaah mais oui et j’encourage chacun à aller télécharger le guide anti brouillard sur le site de l’excellente coach Sophie Pourny (une femme très bien) ;-)))
[…] de Maman Lempicka, que j’ai pu découvrir grâce à son TAG pour le coup. Il y a également Virginie que j’ai découvert qui s’est lancé dans la rédaction de sa carrière […]
Vivi, promis ! Tu as mon vote dans 3 ans ! Et cela me donne d ailleurs une idée de reconversion pour moi : je serai ta première ministre !
Voilà 😉
Aaah bah viens, on va mettre au point notre programme ! On a déjà une équipe dirigeante de choc en plus. Franchement, si on redresse pas l’économie (a-t-elle besoin d’être redressée d’ailleurs ?!) au moins on garantit au peuple de bien se marrer. C’est quand même l’essentiel non ? Non ? Ah, bah non alors 😛
[…] a elle aussi outrageusement emprunté l’idée (avec talent évidemment), et Virginie du blog Ne le dites à personne, itou (un jour, j’irai déterrer leurs sujets d’il y a un an, l’air de rien). […]
Ah ouais, dictateur, bien ça!
N’est-ce pas ?! Je cherche toujours la formation diplômante par contre ^^
moi aussi j’avais fait un article sur mes carrières loupées, c’est trop drôle de s’imaginer dans une autre vie
Ah il faut que j’aille voir ça !! Oui, ça fait envie aussi un peu parfois…
J’adore!
Dictateur je n’y aurai pas pensé mais parfois ça me démange.
Maitresse d’école j’y ai pensé mais je n’arrive déjà pas à en gérer un, alors 27 (au mieux)…
Joueuse de poker, c’est bien trouvé.
A mes heures perdues, je suis poète écrivain, ça rapporte que dalle mais je me fais plaisir et c’est déjà pas mal.
Merci Marie ! Je vois que tu écris, très bien en plus, et malheureusement la création n’est vraiment pas encouragée ici- bas ! J’ai appris récemment que seuls 1% des auteurs réussissaient à vivre de leur plume… 🙁
Hello,
Merci pour cet article super amusant 🙂
Quant à ma vie professionnelle, je regrette toujours que ce n’est pas possible d’avoir un travail bien payé qui consiste à lire des livres, surtout des nouvelles publications 😉
Entre joueur de poker et dictateur, je ne sais pas lequel choisir.
Merci pour ce moment de rires.