Hey, bonne idée, un article sur Le Village… le jour de sa sortie.
Mais… c’est qu’il aurait fallu l’écrire un peu plus tôt. M’y atteler la veille, à 22h, alors que j’ai l’impression d’être à poil au milieu de la rue Sainte-Catherine (si vous n’êtes pas bordelais, sachez juste que ces derniers la considèrent comme étant la plus longue, la plus grande, la plus belle, et la plus… surchargée du monde) ; avec pour seule envie celle de m’exiler sur une ile déserte (disons, déserte mais avec un bar et un sosie de George Clooney, je n’ai pas encore tout a fait perdu le nord quand même) ; ce n’était peut-être pas l’idée du siècle.
Car après avoir piaffé d’impatience pendant des mois, voilà que je tremble comme une feuille et que je ne rêve que de freiner des quatre fers… Mais c’est trop tard, impossible de reculer, alors, hop je saute. Enfin. Disons plutôt : on me pousse, et on verra bien où je tombe. En attendant de voir où tout cela me mène, je m’offre le luxe d’une petite page d’auto-promo, qui je l’espère répondra aux nombreuses questions que vous m’avez posées (au moins 4) autant qu’elle attisera votre curiosité (et vous poussera à aller acheter le bouquin, n’oublions pas que tout est commerce en ce bas monde).
PS : Vous l’aurez compris, cet article est écrit après l’ingestion de 4 Lexomil, 2 litres de rouge et 18 tablettes de chocolat. Blurp.
Petit retour sur cette folle année d’écriture
Janvier 2019
Planquée dans la buanderie, je profite du répit que m’offre le tri de chaussettes et le remplissage de sèche-linge pour consulter discrètement mes mails (et mon Facebook, mon Insta, Mon Linkedin, Mes comptes, Le nombre de calories dépensées aujourd’hui, Le réglage de mon réveil pour demain)
Inbox : rien. F***
Spam : Les impôts me remboursent 537,65 euros (« Pour profitez de se ramboursemant cliqué ici ») / Auféminin m’écrit / La BNP m’informe d’une erreur en ma faveur (« Clic ici pour bénéficiez du recrédis ») (bizarre, je ne suis pas à la BNP).
Je sors les serviettes, une dose de lessive et… attends, attends. Auféminin ?!
Janvier + 30 minutes
Biquet a perdu un tympan, l’ainé me demande s’il peut avoir la médaille ou la coupe, le second danse dans le salon en chantant bavoooo bavooo !! (rapport aux Chipster ayant atterris dans son assiette en lieu et place des petits-pois carottes initialement prévus). Il semblerait que j’ai gagné le concours, je ne suis toujours pas convaincue de la véracité du mail (je me demande si finalement je ne devrais pas reconsidérer celui des impôts ?), mais quelques recherches Google, linkedin ainsi qu’une consultation du fichier de la PJ me confirment au moins l’identité de son expéditeur. Il va donc falloir lui répondre, ça me fout un peu les jetons, imaginons qu’il se soit trompé, ce serait ballot qu’il s’en rende compte comme ça non ?!
Février
L’euphorie est a son comble. La soirée était merveilleuse, j’ai probablement fait le discours le plus niais de ma carrière – bon, OK c’était le seul -, ma cousine préférée m’assure que « mais non, c’était mignon », ce qui me confirme d’une part l’extrème gentillesse et bienveillance dont elle sait faire preuve pour ne pas m’enfoncer, ainsi que le degré de cucuterie particulièrement élevé du discours. Mais peu importe, je vais être éditée ! Je vais être éditée, la gloire, le succès et la fortune sont à ma portée, la vie est belle et merveilleuse, je me demande bien quel prix je vais choisir. Le Femina ? Le Renaudot ? Le Goncourt pourquoi pas ? Il faudrait peut-être que je commence à me renseigner sur le Festival de Cannes. Et si je contactais Chanel ? Ils seraient surement heureux que je porte l’une de leurs créations.
Mars moins-le-quart :
On me rappelle qu’il faudrait que j’écrive quelque chose, avant. Bande de rabat-joie.
Mars (ou février, je ne sais plus bien) (les 2 litres de vin, sans doute)
Rendez-vous dans les locaux des Editions Michel Lafon. Mon éditeur. Impossible de prononcer ces mots sans (rayez la mention inutile) : éclater de rire, manquer de me faire pipi dessus. Le syndrome de l’imposteur est (déjà) de retour (il ne me quittera plus, mais c’est une autre histoire). J’évoque du bout des lèvres l’idée qui occupe mon esprit depuis quelques temps déjà. Incroyable, mais ça n’a pas l’air de les choquer. Ils sont adorables. Plus que ça, ils me laissent libre. Je suis troublée… libre ?! Mais oui, c’est ça. Toute cette liberté depuis le début de l’année (j’ai quitté mon maître CDI début janvier), c’est presque trop pour moi. Il me faut désormais « simplement » étayer l’histoire, rédiger un synopsis (un quoi ?!), faire un découpage… et écrire. Cette fois, c’est parti.
Mars et demi
Je réalise que la liberté en littérature n’a aucune limite. Et si dans mon livre les journées ne duraient que 16 minutes ? Et si je faisais intervenir Trump déguisé en chou-fleur ? Cette profusion des possibles me donne le vertige. Et une idée. Ahaha, je la tiens, mon histoire détaillée. Allez, j’envoie ça à mes interlocuteurs chez Michel Lafon, ils vont voir ce qu’ils vont voir.
Mars et demi + 3 heures
« Hmmm Virginie, l’histoire est bien, hein, mais les extraterrestres et la politique d’eugénisme, ce n’est peut-être pas très utile… ni crédible ».
Note à moi-même, pour plus tard et pour tout de suite surtout : Oublier la SF.
Mars trois-quart
Synopsis (- extraterrestres) validé. Découpage en mode tableur Excel (vous ai-je déjà parlé de ma passion pour Excel ?) validé. Reste plus qu’à rédiger. Les doigts dans le nez.
Avril
Bon. J’ai écrit 10 pages, ça y est, je suis écrivain, c’est clair. J’envoie ça aux éditeurs (ça va les rassurer). Et je vais peut-être prendre quelques jours de vacances, moi. Faudrait pas risquer la foulure du poignet, quand même.
Avril + 2
« OK merci Virginie, c’est bien. Mais faut continuer, maintenant, hein… ».
Avril + 3, 4, 5
Quand faut y aller… Je plonge. Je fais cette drôle d’expérience que l’on m’avait prédite : l’histoire, les personnages, prennent la main. Ce sont eux qui me guident. Je suis bien obligée de les freiner un peu (non les gars, on avait dit pas de petits hommes verts, et non, personne ne se déguisera en légume, merci). L’inspiration est là, ce n’est pas le moment de s’arrêter. Telle une vague, elle gonfle, monte, déferle sur mon clavier et je sens ma plume s’envoler ; les mots s’entrechoquent, s’alignent et font des étincelles, je suis une poète, les phrases s’enchain…
« Mamaaaaan, viens voir mon caca, il est énooorme !! Tu peux m’essuyer les fesses ? »
Mai
Je disais… ? Ah oui, l’inspiration… Bon pour faire simple, ça va, ça vient. Il arrive donc qu’elle soit interrompue. Pour la faire revenir, je passe de longs moments, contemplative. Mon bureau ne se trouve pas (encore ?) au beau milieu d’une large pièce bordée de baies vitrées donnant sur une vaste forêt de sapins, alors je contemple… mon mur. Ça fait moins rêver, non ? C’est pourtant sur celui-ci que j’ai trouvé l’un des détails – qui n’en est pas un – du livre. Sur un dessin de mon aîné, plus précisément.
Merci mon fils. Ton petit bonhomme avec son drôle de chapeau, son « réservoir à beaux rêves » comme tu me l’avais présenté… Je te pique l’idée. (On parlera des royalties à ta majorité).
Juin
Petit point calendrier. Le contrat prévoit un envoi du manuscrit le 8 juillet. Au plus tard, le 8 juillet. Je pense « Je suis large », en ayant cette désagréable sensation de déjà-vu. (le Je suis large-isme, également appelé syndrome de l’architecte. Ceux qui savent…). Il va donc falloir accélérer, Simone.
Juin + 42 degrés à l’ombre
Coup de mou. J’arrive à la fin. Comme toujours, les derniers mètres sont les plus compliqués. L’essoufflement de fin de course. La peur d’aller jusqu’au bout. Ou l’appel des mojitos, des soirées et des week-end à la plage, peut-être…
L’appel du 18 Juin
Une voix, comme un appel, me suggère de m’isoler quelques jours. Au bord de la mer. Je prendrai mon ordi, mon inspiration et une tasse de thé en regardant l’océan. L’inspiration sera là, c’est sûr, dans la brume ouatée qui enveloppera les grands pins le matin, ou dans le souffle léger du vent qui balayera la plage en propageant son odeur iodée autour de moi. Aaaah… nous y voilà donc ! Je ne suis pas partie que je commence déjà à ressentir les prémices de l’âme torturée de l’écrivain, le besoin de solitude et de grands espaces pour me laisser guider dans l’écriture. C’est certain, cette escapade va me permettre de me reconnecter à mon moi profond, de trouver le dernier souffle d’inspiration pour mener ce combat – car oui, c’est un combat – jusqu’au bout.
21 Juin
J’ai vachement bien travaillé. Mon bronzage.
8 juillet, 10h
C’est le moment de finir, là, non ?
8 juillet, 16h37
Pfffiou… ça y est, c’est parti ! Champaaaagne ! Dans quelques mois, mon livre sera dans les bacs, yeaaah !!
10 juillet
Aaaah non, cocotte, là, tu viens juste de commencer…
18 juillet
Rencontre avec la directrice littéraire de la maison Michel Lafon. Mémorable. Je mesure ce jour là mon privilège. Il y a du boulot, mais je m’attendais à pire. Je vais pouvoir partir en vacances tranquille.
Juillet => Septembre
Ah bah non, en fait. Dieu bénisse l’inventeur du téléphone portable.
Septembre
Corrections, relectures, re-corrections, rere-lecture… Je suis à la limite de l’overdose, je ne peux plus voir mon texte en peinture. Mais les propositions de couverture sont tops : c’est exactement ce que j’avais en tête. Big up à l’équipe de graphistes. Ajustement des couleurs – c’est qu’il faut que ça se voit dans les rayons, et cette fois, ça y est, c’est fini. Il ne reste plus qu’à patienter jusqu’à la sortie. Ça tombe bien, la patience fait justement partie de mes principales qualités. Biquet me suggère même de mettre une dynamo sous mon pied, d’après lui, on pourrait faire des économies d’électricité.
Octobre – Aujourd’hui
Tel un coureur du tour de France sur le col du midi, je vais de bas en haut, de haut en bas, en me dopant régulièrement pour remonter à chaque fois… . Je relis le livre une fois relié. Je l’avais presque oublié. Entre temps, j’ai lu quelques bouquins. Je repars donc prendre un cachet. Ou plutôt 10… C’est marrant, j’étais pressée. Mais là maintenant… plus tellement, finalement…
Et alors Le Village, de Virginie Delage, ça raconte quoi ?
(Je précise à toutes fins utiles que le fait de m’auto-citer dans ce titre n’est autre qu’une tentative habile (enfin, ça, l’avenir nous le dira) de référencement sur mon propre nom, ce qui serait plutôt judicieux sur mon blog, je crois).
Voilà donc le moment tant redouté, celui où je dois parler de mon bébé, pour le vendre qui plus est (quelle mère sensée ferait ça ?!). Je vais tout de même tenter d’en dire quelques mots, sans trop en dévoiler (qui sait, peut-être certains d’entre vous auront l’idée folle de l’acheter).
La quatrième de couv le résume ainsi :
D’abord, il y a ce fameux village. Il existe bel et bien, mais je ne l’ai pas nommé. Il pourrait être n’importe quel village, finalement. Ce village sera le décor d’une bonne partie de l’histoire. On y suivra donc cet homme, qui, dès le début, annonce la couleur ; et qui, au gré de sa ballade dans le village, nous emmènera découvrir son passé, ses secrets, ses histoires enfouies… Et puis il y a Oscar, l’urbain, qui lui, vit à Paris. En pleine ascension professionnelle. Il pourrait être vous, jeune cadre dynamique qui tente de gravir les échelons. Ce qui les lie ? c’est… Pour connaitre la suite, rendez-vous chez votre libraire le plus proche.
Voilà pour le teasing, on fait comme on peut, avec ce qu’on a (confère la rupture de chocolat chez moi).
Si je devais enfin donner le thème, je dirais que c’est un livre qui parle des choix, de nos choix, des choix que l’on a tous eu à faire à un moment de notre vie, de ceux que l’on a fait un peu contraints et de ceux que l’on a fait (cru faire ?) librement. De l’influence de notre entourage sur ceux-ci. Mais je sais que chacun y trouvera son propre thème – ou rien du tout, d’ailleurs. Je suis curieuse d’avoir vos impressions…
Jour J – 2h
Il y a quelques mois, à la suite du prix Auféminin, je parlais de ma peur bleue, mon moteur. Aujourd’hui plus que jamais, j’ai peur, je tremble. Je sais que ce n’est pas le Pulitzer, je sais que ce n’est pas parfait. Je sais qu’il y aura des critiques (2 secondes, je vais hurler, je reviens), peut-être des déceptions. J’essaie de me rappeler cette phrase qui m’accompagne depuis longtemps maintenant (merci Maman BCBG) : fait vaut mieux que parfait. Je suis allée jusqu’au bout, j’ai couché sur papier cette petite histoire qui sommeillait depuis longtemps au fond de moi. Ce n’est pas parfait, mais après tout, c’est un premier. Malgré ses défauts, c’est bien ça que je voulais raconter, et je suis tout de même fière de pouvoir le partager…
Et puis il y a aussi ces trois-là. Ces trois-là, qui n’auront jamais l’occasion de se croiser, en dehors de cette page. Les avoir réunis ici, et les voir tous les trois, à côté, même s’il ne s’agit que de mots couchés sur un bout de papier, ce sera peut-être ça, ma plus grande fierté…
Pour le reste, la balle est dans votre camp…. De mon côté, je vais me coucher, avant d’attaquer le prochain… Pour celui-là, rendez-vous en 2021, si tout va bien !
Oh, et puisque je ne suis plus à mille mots près…
Le livre est disponible dans (presque) toutes les bonnes librairies, et sur à peu près toutes les plateformes de ventes en ligne (qui, rappelons-le, ne sont pas libraires, mais je dis ça, je dis rien…). Je remercie d’avance du fond du cœur ceux et celles qui me liront, et me feront donc l’honneur de passer quelques heures en ma compagnie. N’hésitez pas à laissez votre avis sur les sites (Babelio, Amazon, La Fnac…). Un peu comme pour les pizzas et les nouilles chinoises, les bouquins se vendent aussi grâce aux avis des internautes… Et oui, It’s business (clin d’œil pour les futurs lecteurs). Oh, et tant que je suis dans le chapitre réclamation, je précise, tant qu’à faire, des bons avis, hein. Donc, si le livre vous a plu, allez vite le crier sur tous les toits et sur toute la toile. Votre karma et moi, on vous remerciera. Mais dans le cas contraire, soyez indulgent et surtout… NE LE DITES A PERSONNE 😉
40 comments
J’ai envie de te serrer dans mes bras. Ton article m’a distrait de ma dernière relecture avant envoi. Je ne peux plus me lire, je me vomis un peu. Je suis heureuse de savoir que ça t’est arrivé aussi. Même si tu formules ça avec un peu plus de finesse que moi. 😀 Je te lis dès que j’ai fini le mien, tu es sur ma to-do list. Je te souhaite… des lecteurs. Pour remplacer le lexomil.
Ahah oui je t’avoue que j’ai hésité à employer ce terme qui correspond exactement au sentiment que j’ai eu (et encore maintenant je dois avouer…). Merci en tout cas, j’ai hâte de voir le tien !! Et oui, un lecteur = un lexomil en moins, faisons baisser les ventes des anxiolytiques ensemble !! 😉
coucou ! tout d’abord un grand bravo à toi car c’est une masse de travail considérable… en tout cas tu peux être fière de toi ! bises
alexia
Merci beaucoup ! Oui je savoure cette journée un peu particulière 🙂 (et je vais bien dormir cette nuit ;-)) Bises !
Je vais vite l’acheter !
Encore et encore félicitations !
J’attends d’avoir un peu avancé dans l’écriture de xxxx pour te lire,
Mais mais mais… c’est une grosse annonce ça 😀 !!! Il va falloir en dire plus… Merci en tout cas et vite, raconte nous tout !!
Mais quelle magnifique aventure. Je cours l’acheter aussi. Bravo à toi !
Cours, vole !! Un grand merci à toi et surtout, j’espère que je ne te décevrai pas… !
Wow!
Une belle aventure. Bravo pour ce roman, ce n’est pas un exercice aussi évident qu’il y parait.
Merci infiniment Marie ! C’est certain que c’était un challenge, je suis contente d’avoir pu le relever… !
Bravo, mille fois bravo. Quelle formidable aventure (et tu remets ça, que c’est chouette !!).
Évidemment que je vais te lire, mais sans attendre l’ouverture de la librairie de mon patelin (car oui, librairie nous auront dans 3 mois, joie) 😉
Profite quand même un peu de tout ça, et va te racheter une tablette de chocolat :))
Compte sur moi pour le chocolat (mon estomac commence tout de même à trouver que ça fait beaucoup ;-))
Une librairie qui ouvre, c’est génial ça ! J’en vois tellement qui ferment, ça fait plaisir de lire ça ! Merci en tout cas pour ton message !!
Quelle aventure ma bonne dame, mais quelle aventure ! Que d’adrénaline, de suspense, d’ongles rongés ! Je me réjouis pour toi de ce marathon réussi. Et je vais même, tiens, soyons folle, aller l’acheter dans ma librairie de quartier ce soir. Parfaitement. Si c’est pas une preuve d’amour, ça. Sinon, j’ai cru lire entre les lignes qqpart qu’un deuxième était dans les tuyaux ? Is that true ? 😘
J’espère que ta librairie de quartier est bien achalandée ^^ tu me diras !! Ce sera un honneur (et un gros stress) que d’être lu par ton œil expert (mais utilises les deux, sinon c’est la migraine assurée) Pour le second, il semblerait, oui ! Pour l’instant c’est vraiment en bordure du tuyau mais je vais pousser un peu pour que ça rentre 😉
Bravo et bonne chance du fond du cœur ! C’est merveilleux d’aller au bout de son projet, de son rêve !
Merci beaucoup ! Oui c’est une chance incroyable, il m’arrive encore devoir me pincer pour y croire (j’ai les bras plein de bleus, faut vraiment que j’arrête ;-))
Bravo bravo bravo !!!!
Merci merci merci ! J’ai souvent pensé à toi pendant cette période 😉
Un grand bravo ! Ce n’est pas facile d’aller jusqu’au bout. Je te souhaite bonne chance pour les ventes.
Merci beaucoup ! Et toi d’ailleurs, une suite pour Nina bientôt ??
Au fait, je viens de l’acheter… Pour l’Espagne, cela prend un peu de temps mais je l’attends avec impatience
Merci infiniment… c’est chouette de savoir qu’il va traverser la frontière grâce à toi !!
Comme tu l’as vu sur Instagram, ton book est dorénavant mien^. Et figure toi que c’est en interrogeant un vendeur de l’espace culturel que j’ai découvert la pile de TES livres entre ses mains. Hasard ou coïncidence, il était présentement en train de les disposer. La classe Madame !
Hâte de te lire et encore félicitations, tu peux être très fière de toi !
Excellent 🙂 Merci encore pour ton soutien et tes encouragements tout au long de cette année… Je suis fière de t’avoir pour lectrice ! J’ai hâte d’avoir ton retour…
C’est une superbe aventure, il n’y a pas d’autre mot, une aventure avec toi-même, une aventure qui va prendre son envol et venir nous rencontrer. Bravo pour ta persévérance. Le résumé m’a donné trop envie. Les 3 noms réunis m’ont émue. Je te souhaite tout le succès possible. J’ai beaucoup d’admiration pour toi!
Merci beaucoup, tes mots me touchent beaucoup 🙂 Je ne sais pas où tout cela me mènera, mais c’est effectivement une aventure incroyable ! J’espère que le livre te plaira en tout cas 🙂
Juste la classe internationale! Enfin pas encore mais ça viendra! (Oui c’est bien beau tes histoires mais il nous reste un monde à dominer c’est pas tout ça ;o))
(Et puis bon hein, bravo!)
(Et Je t’offre mes services de VRP je crois que j’ai fait ta promo sur tous les media possibles)!
À ce niveau là c’est plus VRP c’est carrément agent personnelle 🙂 Moi ça me va !! Et oui comme tu dis on a un monde à dominer héhéhé 😉 Gros bisous Marie et encore merci pour ton soutien sans faille !
Félicitations!! Quelle classe!! Bon, je t’avoue, je ne pourrai pas le lire tout de suite mais je crois que ce sera ma lecture annuelle estivale… (oui ça fait 4 ans que je ne lis plus qu’un livre par an… Honte à moi!!)
Oh mais je serais au contraire ravie et carrément honorée qu’il t’accompagne cet été ! Moi aussi mon rythme de lecture s’est drastiquement réduit depuis 5 ans. C’est marrant, pile l’âge de mon ainé. > Coïncidence ?! Je ne crois pas… 😉
Je ne l’ai pas (encore) lu mais sache que tu as d’ores et déjà toute mon admiration pour lavoir écrit ! (Et je n’ai même pas lu le paragraphe sur le résumé et la quatrième de couverture, le suspense jusqu’au bout !)
Tu fais bien de te ménager le suspens… Ou pas. C’est qu’il ne faudrait pas que je perde ton admiration déjà acquise… 😉 Merci beaucoup en tout cas !!
Pour le coup, je fais les choses dans le désordre. J’ai lu ton livre avant de découvrir ton blog et cet article donne bien le ton. Je sens que je vais adorer ! Encore bravo pour ce roman dont tu n’as pas à rougir, bien au contraire. Je ne m’attendais pas à ça. Une vraie claque ! Je lui souhaite un immense succès et j’attends déjà le prochain avec impatience. J’imagine à quel point ça doit être stressant et excitant à la fois.
P.S. : J’ai beaucoup aimé l’idée du « réservoir à rêves ». C’est trop mignon ! 🙂
Je vais finir par être répétitive ^^mais ton retour va devenir mon moteur 🙂 Encore mille fois merci, je m’attaque au second boostée par tes mots !!
Je suis toute émue par ton article.
Il est hors de question que j’achète ton roman en dehors d’une librairie physique… du coup, alors que plusieurs bloggicopines l’ont déjà fini, je ne l’ai pas commencé. Du coup (x2) je fais un block out des articles des copines qui parlent de ton livre qu’elles ont déjà fini.
Je suis toute émue et j’ai envie de faire des rondades (mais comme je suis au bureau, j’ai peur de tomber contre une table et m’assomer)
Bravo pour ce chemin parcouru ! (en attendant de te dire bravo pour ton magnifique roman car je sais qu’il me plairat, enfin seulement s’il te ressemble un peu)
:*
Du coup (x3) j’ai encore plus la pression : trop peur de te décevoir… Tu as raison de faire les rondades (attention aussi aux chaises, c’est traitre, une chaise). Merci en tout cas pour ton soutien indéfectible tout au long de cette année, et même avant 🙂 Bonne lecture Cécile !
Encore une fois bravo à toi, vraiment ! Quelle magnifique aventure ! Je te souhaite beaucoup de succès et quant à moi, j’ai juste hâte de pouvoir ENFIN commencer ce bouquin !
Merci beaucoup ! Une aventure un peu folle, qui finalement ne commence qu’avec la sortie… Un peu angoissant tout ça mais tellement stimulant… J’espère que ça te plaira (#pression), bonne lecture et encore un grand merci pour tes encouragements !!
J’ai hâte de l’acheter et de le lire, bravo en tout cas !
3 mois de confinement plus tard 😉 : MERCI !!