« Le temps vole, pensit John. Quand il découvra la date sur la lettre, l’homme n’y croya pas. C’était le 12 de mars… déjà. »
Et oui. Un livre mal traduit, ça peut faire mal… sans rentrer dans de telles erreurs, une mauvaise traduction peut sans doute tout gâcher…
Vous ne croyez pas ? Venez donc voir par vous-même. Car au moment où je rédige ce texte, je suis en pleine lecture d’un Stephen King. Une valeur sûre, à priori… Et pourtant, cette lecture s’avère des plus laborieuses. Non pas que l’histoire me déplaise, mais je me suis fixée sur un détail qui me chiffonne…
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